Une enquête sur les organisations criminelles au Guatemala qui sèment la terreur au quotidien dans les quartiers pauvres par le raquette et le trafic de drogues. Les menaces de morts en cas de refus de se soumettre ou même l’incapacité de payer sont rapidement et facilement mises à exécution.
Les habitants, employés de commerces et de transports vivent dans la crainte permanente, risquant leur vie pour gagner de maigres salaires. Une situation compliquée dans un contexte politique gangrené par la corruption et des forces de l’ordre démunies.
Un brillant reportage, courageux, signé des deux journalistes français Alexandre Spalaikovitch et Manalo D’Arthuys, produit par Ligne de front, et diffusé par la télévision internationale allemande DW. Disponible en anglais, et espagnol.
En visionnant ce documentaire, nous, Oliver et Jérôme à Café Chulo, ne pouvons que réaffirmer nos valeurs de commerce équitable et de traçabilité. Grâce à votre aide en tant que client, nous pouvons bien acheter votre café, nous assurer que votre argent rémunère correctement tout ceux qui travaillent à la culture du café, mais aussi à la communauté qui les entoure, favorisant l’éducation, la scolarisation des enfants, luttant contre le travail des enfants, et améliorant l’alimentation et veillant à la santé et à la sécurité.
Seule l’éducation des jeunes pourrait leur permettre d’espérer un monde meilleurs, dont nous fondons les base aujourd’hui.
Article original
Hijos de la violencia – Maras de Guatemala
Guatemala es uno de los países más pobres de América. Y uno de los más peligrosos. Los barrios populares sufren más que nadie la violencia de las pandillas juveniles, las maras. La desintegración social y la falta de perspectivas nutren ese fenómeno.
La policía de Guatemala apenas logra frenar a esas bandas organizadas. Los mareros, en su mayoría jóvenes, asesinan, roban y aterrorizan a la población. Para los ciudadanos, las milicias locales ilegales parecen ser la única forma de proteger a sus familias. En Villa Nueva vive Pedro, un líder local de la mara « Barrio 18 ». Que haya cumplido los 32 años de edad roza el milagro. Rara vez los miembros de las maras superan los 25 años. La policía trata de controlar a las pandillas, pero carece de medios. A veces, los agentes deben comprar, incluso, parte de su munición. Muchos ciudadanos se sienten a merced de las bandas violentas y se arman. Algunos crean milicias locales para combatirlas directamente.